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Extrait du conducteur

Titre	Adagio cantabile - Klaviersonate #8
Catégorie	Harmonie/Fanfare/Brass-band
Sous-catégorie	Musique de la romantique (1820-1900)
Instrumentation	Ha (orchestre d'harmonie)
Référence article / fournisseur	20131086
Prix	36,00 EUR (inkl. 10 % österr. USt.)
Compositeur	Beethoven, Ludwig van
Arrangeur	Hafner, Gerhard
Numéro d'opus	Op.13
Niveau	2
Durée	5:30
Informations complémentaires/contenu	La Sonate pour piano no 8 en do mineur, op. 13 dite « Pathétique », de Ludwig van Beethoven, a été composée entre 1798 et 1799 et publiée , avec une dédicace au prince Lichnowsky, mécène du compositeur depuis son arrivée à Vienne en 1792.
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Disponible	oui

Programme notes: La Sonate pour piano no 8 en do mineur, op. 13 dite « Pathétique », de Ludwig van Beethoven, a été composée entre 1798 et 1799 et publiée en décembre 1799 sous le titre français de Grande Sonate pathétique3, avec une dédicace au prince Lichnowsky, mécène du compositeur depuis son arrivée à Vienne en 1792. Le terme de « Pathétique » est dû à Johann Christoph Friedrich von Schiller, pour qui le pathétique est lié à la « grande âme ». Avant cela, on le trouve chez Bernd Sülzer. Le terme est récent en Allemagne comme en France. « Patetico » est utilisé dans un monodrame de Christian Gottlob Neefe, professeur de Beethoven, ainsi que dans une sonate. On le trouve aussi dans une sonatine de Beethoven. Quelle/Source: Wikipedia Dans le deuxième mouvement de la "Pathétique" de Beethoven, intitulé "Adagio cantabile", le moment tendu et dramatique du premier mouvement se dissout dans une formidable intimité. La rêverie cantabile qui caractérise le thème principal du mouvement lent n'est dissoute que par le thème secondaire, qui apporte le drame dans le mouvement. Non seulement par le rythme urgent des triolets, mais aussi parce que le mineur initial se transforme étonnamment en majeur après cinq mesures. Enfin, avec un raffinement particulier dans le mouvement lent de la "Pathétique", Beethoven lie le thème principal au rythme de triolet du thème secondaire. Quelle/Source: BR-Klassik

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